La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche (DGER) est rattachée au Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire.
Ses domaines de compétence concernent l’enseignement général, technologique, professionnel et supérieur agricole, la formation continue agricole, la recherche et le développement. Elle contribue à l’animation du milieu rural et participe aux actions de coopération internationale grâce aux échanges d’élèves et d’enseignants avec l’étranger.
En matière d’Enseignement, la DGER définit les orientations pédagogiques de tous les établissements ou centres de formation agricoles, publics et privés. Elle organise les examens, répartit les moyens humains et financiers alloués par l’Etat et assure une liaison avec le Ministère de l’Education nationale, notamment au niveau des moyens dédiés aux établissements de formation agricole privés.
La DGER définit et coordonne également la politique de Recherche dans les secteurs agronomiques, biotechnologiques, forestiers, halieutiques et vétérinaires. Pour ce faire, elle peut compter sur l’Institut national de Recherche Agronomique (INRA), dont elle assure la tutelle, de même que le Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts.
D’un point de vue plus administratif, c’est encore elle qui assure le suivi du budget de cette compétence, alloué par le ministère. Enfin, elle assure les contrôles définis par les textes législatifs et réglementaires, notamment sur les organismes du développement agricole.
L’Histoire de l’Enseignement agricole précède bien évidemment la naissance de la DGER.
Pour en retrouver les premières traces, il faut remonter jusqu’à l’Ancien Régime et les premières écoles agricoles et vétérinaires (1760). Mais c’est véritablement aux prémisses de la Révolution industrielle que le Gouvernement français officialise ce type d’enseignement, par décret du 3 octobre 1848. Ce dernier crée les fermes écoles, les écoles régionales d’agriculture et l’Institut national agronomique, ancêtre de l’INRA, aujourd’hui sous la tutelle de la DGER.
L’enseignement agricole supérieur naît au sortir de la Première guerre mondiale, en 1918. Et c’est dans les années 60 que la France promulgue des lois d’orientations. L’objectif est alors de moderniser l’enseignement agricole et de le mettre en conformité avec le système et les diplômes de l’Education nationale.
L’affirmation d’un système éducatif agricole est défini en 1984 par son rattachement au Ministère de l’Agriculture et non au Ministère de l’Education nationale.
Enfin la loi d’orientation agricole du 9 juillet 1999 est celle qui définit actuellement la politique menée par la DGER en matière d’enseignement agricole et de recherche. Elle comprend désormais la notion de développement durable
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’enseignement agricole ne relève non pas du Ministère de l’Education nationale mais bien du Ministère de l’Agriculture, en ce qui concerne son organisation et ses orientations pédagogiques. Ces dernières ont été définies dans la loi d’orientation du 9 juillet 1999. C’est la Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche qui a en charge de l’appliquer, de la classe de 4ème jusqu’au Doctorat, dans le privé comme dans le public.
- L’Enseignement technique agricole
Il concerne en France plus de 170 000 élèves (chiffres 2010) répartis dans 845 établissements d’enseignement technique, majoritairement privés. Il s’agit notamment des lycées professionnels agricoles et des lycées d’enseignement général et technologique agricole. Les filières de formation sont diverses :
La production : aussi bien agricole (cultures), qu’horticole (fruits, légumes, fleurs), viticole et aquacole
Les équipements : entretien des machines, gestion des chantiers mécanisés
La transformation : les industries agro-alimentaires et les bio-industries (laboratoires d’analyses)
L’aménagement : forestier, paysager, maîtrise de l’eau
Les services : accueil et tourisme en milieu rural, hippisme, soin des animaux
Ces formations délivrent des Baccalauréats Professionnels (« Bac Pro ») ou encore des Certificats d’aptitude professionnelle agricole (CAPA).
Autre ressort de l’enseignement technique agricole, les centres de formation des apprentis (CFA) proposent à des jeunes de 16 à 25 ans de suivre des études en alternance. Il en existe 141 en France actuellement, majoritairement publics.
La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche veille à ce que chacune de ces formations contribue à l’insertion scolaire, sociale et professionnelle des jeunes. Elle s’assure que ces dernières participent à l’animation du milieu rural et permettent des actions de coopération internationale. Notamment grâce à des échanges d’élèves, d’apprentis et d’enseignants avec des pays étrangers.
- L’Enseignement supérieur et la Recherche agricole
On recense en France 19 établissements d’enseignement supérieur agricole, majoritairement publics. Ces derniers proposent également des formations avec des spécialités différentes. Il s’agit notamment des productions agricoles, horticoles, forestières, des industries agro-alimentaires, de la protection des animaux et du patrimoine naturel (eaux, forêts…) ou bien encore de la biologie, de la recherche et du développement.
Plusieurs types de formation permettent d’acquérir ces spécialités :
Le cycle supérieur court : il délivre notamment un brevet de technicien supérieur agricole (BTSA). Il permet par exemple d’obtenir la responsabilité d’une exploitation ou d’une entreprise agricole.
La licence professionnelle : il en existe 185 différentes depuis 2010, en particulier dans le domaine de l’agronomie, de la production et de l’aménagement paysager.
Les diplômes d’ingénieur : 12 écoles d’ingénieurs sont recensées par la DGER. Elles recouvrent des spécialités allant de l’agronomie à l’horticulture en passant par les soins vétérinaires et la formation des enseignants des lycées agricoles. On les intègre pour 3 à 5 ans de formation avec un niveau initial de Bac +2. Il est possible d’acquérir ces diplômes par la voie de l’apprentissage dans 6 établissements agréés.
Le diplôme de paysagiste : le DPLG ne s’obtient que dans une seule école en France proposant une formation de 4 ans. Elle est située à Versailles.
La formation des enseignants : Il n’y a qu’à Toulouse que sont formés les futurs enseignants des lycées agricoles.
Toujours sous l’égide de la DGER, il est possible de poursuivre sa formation supérieure jusqu’à la recherche en préparant une thèse dans une école doctorale. La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche définit et anime la politique de recherche dans les domaines halieutiques, agronomiques, vétérinaires et biotechnologiques.
C’est elle qui assure la tutelle de l’Institut National de Recherche agronomique (INRA). Il s’agit du premier institut de ce genre à l’échelle européenne. L’Inra regroupe plus de 8 500 agents, aussi bien scientifiques, qu’ingénieurs ou techniciens, en plus de 2000 doctorants. Ces derniers sont répartis sur 150 sites et planchent sur les problématiques de l’agriculture, de l’environnement et de l’alimentation.
Toujours en termes de Recherche, la DGER exerce également la tutelle du Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts. Le Cemagref protège et gère les hydrosystèmes ainsi que les milieux terrestres.
Enfin, ajoutons que la DGER peut se vanter d’avoir un système pédagogique efficace. En 2010, le taux de réussite aux examens est estimé à 82% et le taux d’insertion professionnelle à plus de 90%, 3 ans après l’obtention du diplôme (source Ministère).
Réforme du Bac Pro (2009)
Depuis la rentrée 2009, l’enseignement agricole, défini par la DGER, a hérité d’une transformation provenant tout droit de l’Education nationale. Il s’agit de la réforme du Bac Pro. La nouveauté consiste à obtenir ce diplôme au bout de trois ans et non plus au bout de quatre ans comme c’était le cas précédemment. L’objectif est d’aligner ce cycle de formation sur celui du Bac général et technologique.
Mais cette réforme n’a pas fait l’unanimité. Loin de là. Les syndicats agricoles s’y sont farouchement opposés (FNSEA, JA, Unep), arguant que cette transformation sonnait le glas des Brevets d’études professionnelles agricoles (BEPA). Il s’agit d’un diplôme plus modeste mais intermédiaire qui permettait aux élèves de s’arrêter plus tôt que le Bac pro dans le cadre de leur formation.
- Ouverture d’un lycée agricole à Wallis et Futuna (2011)
Par décret du 31 décembre 2010, le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire a décidé l’ouverture d’un lycée agricole sur l’île de Wallis et Futuna, en collaboration avec le Ministère chargé de l’Outre-mer. Cette ouverture est effective depuis le mois de février 2011.
Ce lycée offre la possibilité de passer 2 Bacs Pro, l’un dédié à la production végétale, l’autre à la production animale. Un cycle de formation courte est également en place à l’attention des adultes. Ce nouvel établissement vise à éviter les déplacements en Nouvelle-Calédonie ou en Métropole pour les jeunes qui souhaitent suivre ce type de formation. Sur cet archipel, 80% de la population exerce une activité agricole.
- Création d’un web-classeur (2010)
La DGER et l’Onisep (Office national d’information sur les enseignements et professions) ont signé une convention instituant le web-classeur. Il s’agit d’un outil électronique pédagogique réunissant des informations nécessaires aux élèves de l’Enseignement agricole.
On y trouve par exemple recensées des informations sur les divers types de formations proposées ainsi que sur les métiers du monde agricole. Citons les formations aux métiers du développement durable et de la croissance verte. Ces dernières s’inscrivent dans le projet de loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche.
La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche (DGER) est rattachée au Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire.
Ses domaines de compétence concernent l’enseignement général, technologique, professionnel et supérieur agricole, la formation continue agricole, la recherche et le développement. Elle contribue à l’animation du milieu rural et participe aux actions de coopération internationale grâce aux échanges d’élèves et d’enseignants avec l’étranger.
En matière d’Enseignement, la DGER définit les orientations pédagogiques de tous les établissements ou centres de formation agricoles, publics et privés. Elle organise les examens, répartit les moyens humains et financiers alloués par l’Etat et assure une liaison avec le Ministère de l’Education nationale, notamment au niveau des moyens dédiés aux établissements de formation agricole privés.
La DGER définit et coordonne également la politique de Recherche dans les secteurs agronomiques, biotechnologiques, forestiers, halieutiques et vétérinaires. Pour ce faire, elle peut compter sur l’Institut national de Recherche Agronomique (INRA), dont elle assure la tutelle, de même que le Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts.
D’un point de vue plus administratif, c’est encore elle qui assure le suivi du budget de cette compétence, alloué par le ministère. Enfin, elle assure les contrôles définis par les textes législatifs et réglementaires, notamment sur les organismes du développement agricole.
L’Histoire de l’Enseignement agricole précède bien évidemment la naissance de la DGER.
Pour en retrouver les premières traces, il faut remonter jusqu’à l’Ancien Régime et les premières écoles agricoles et vétérinaires (1760). Mais c’est véritablement aux prémisses de la Révolution industrielle que le Gouvernement français officialise ce type d’enseignement, par décret du 3 octobre 1848. Ce dernier crée les fermes écoles, les écoles régionales d’agriculture et l’Institut national agronomique, ancêtre de l’INRA, aujourd’hui sous la tutelle de la DGER.
L’enseignement agricole supérieur naît au sortir de la Première guerre mondiale, en 1918. Et c’est dans les années 60 que la France promulgue des lois d’orientations. L’objectif est alors de moderniser l’enseignement agricole et de le mettre en conformité avec le système et les diplômes de l’Education nationale.
L’affirmation d’un système éducatif agricole est défini en 1984 par son rattachement au Ministère de l’Agriculture et non au Ministère de l’Education nationale.
Enfin la loi d’orientation agricole du 9 juillet 1999 est celle qui définit actuellement la politique menée par la DGER en matière d’enseignement agricole et de recherche. Elle comprend désormais la notion de développement durable
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’enseignement agricole ne relève non pas du Ministère de l’Education nationale mais bien du Ministère de l’Agriculture, en ce qui concerne son organisation et ses orientations pédagogiques. Ces dernières ont été définies dans la loi d’orientation du 9 juillet 1999. C’est la Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche qui a en charge de l’appliquer, de la classe de 4ème jusqu’au Doctorat, dans le privé comme dans le public.
- L’Enseignement technique agricole
Il concerne en France plus de 170 000 élèves (chiffres 2010) répartis dans 845 établissements d’enseignement technique, majoritairement privés. Il s’agit notamment des lycées professionnels agricoles et des lycées d’enseignement général et technologique agricole. Les filières de formation sont diverses :
La production : aussi bien agricole (cultures), qu’horticole (fruits, légumes, fleurs), viticole et aquacole
Les équipements : entretien des machines, gestion des chantiers mécanisés
La transformation : les industries agro-alimentaires et les bio-industries (laboratoires d’analyses)
L’aménagement : forestier, paysager, maîtrise de l’eau
Les services : accueil et tourisme en milieu rural, hippisme, soin des animaux
Ces formations délivrent des Baccalauréats Professionnels (« Bac Pro ») ou encore des Certificats d’aptitude professionnelle agricole (CAPA).
Autre ressort de l’enseignement technique agricole, les centres de formation des apprentis (CFA) proposent à des jeunes de 16 à 25 ans de suivre des études en alternance. Il en existe 141 en France actuellement, majoritairement publics.
La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche veille à ce que chacune de ces formations contribue à l’insertion scolaire, sociale et professionnelle des jeunes. Elle s’assure que ces dernières participent à l’animation du milieu rural et permettent des actions de coopération internationale. Notamment grâce à des échanges d’élèves, d’apprentis et d’enseignants avec des pays étrangers.
- L’Enseignement supérieur et la Recherche agricole
On recense en France 19 établissements d’enseignement supérieur agricole, majoritairement publics. Ces derniers proposent également des formations avec des spécialités différentes. Il s’agit notamment des productions agricoles, horticoles, forestières, des industries agro-alimentaires, de la protection des animaux et du patrimoine naturel (eaux, forêts…) ou bien encore de la biologie, de la recherche et du développement.
Plusieurs types de formation permettent d’acquérir ces spécialités :
Le cycle supérieur court : il délivre notamment un brevet de technicien supérieur agricole (BTSA). Il permet par exemple d’obtenir la responsabilité d’une exploitation ou d’une entreprise agricole.
La licence professionnelle : il en existe 185 différentes depuis 2010, en particulier dans le domaine de l’agronomie, de la production et de l’aménagement paysager.
Les diplômes d’ingénieur : 12 écoles d’ingénieurs sont recensées par la DGER. Elles recouvrent des spécialités allant de l’agronomie à l’horticulture en passant par les soins vétérinaires et la formation des enseignants des lycées agricoles. On les intègre pour 3 à 5 ans de formation avec un niveau initial de Bac +2. Il est possible d’acquérir ces diplômes par la voie de l’apprentissage dans 6 établissements agréés.
Le diplôme de paysagiste : le DPLG ne s’obtient que dans une seule école en France proposant une formation de 4 ans. Elle est située à Versailles.
La formation des enseignants : Il n’y a qu’à Toulouse que sont formés les futurs enseignants des lycées agricoles.
Toujours sous l’égide de la DGER, il est possible de poursuivre sa formation supérieure jusqu’à la recherche en préparant une thèse dans une école doctorale. La Direction générale de l’Enseignement et de la Recherche définit et anime la politique de recherche dans les domaines halieutiques, agronomiques, vétérinaires et biotechnologiques.
C’est elle qui assure la tutelle de l’Institut National de Recherche agronomique (INRA). Il s’agit du premier institut de ce genre à l’échelle européenne. L’Inra regroupe plus de 8 500 agents, aussi bien scientifiques, qu’ingénieurs ou techniciens, en plus de 2000 doctorants. Ces derniers sont répartis sur 150 sites et planchent sur les problématiques de l’agriculture, de l’environnement et de l’alimentation.
Toujours en termes de Recherche, la DGER exerce également la tutelle du Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts. Le Cemagref protège et gère les hydrosystèmes ainsi que les milieux terrestres.
Enfin, ajoutons que la DGER peut se vanter d’avoir un système pédagogique efficace. En 2010, le taux de réussite aux examens est estimé à 82% et le taux d’insertion professionnelle à plus de 90%, 3 ans après l’obtention du diplôme (source Ministère).
Réforme du Bac Pro (2009)
Depuis la rentrée 2009, l’enseignement agricole, défini par la DGER, a hérité d’une transformation provenant tout droit de l’Education nationale. Il s’agit de la réforme du Bac Pro. La nouveauté consiste à obtenir ce diplôme au bout de trois ans et non plus au bout de quatre ans comme c’était le cas précédemment. L’objectif est d’aligner ce cycle de formation sur celui du Bac général et technologique.
Mais cette réforme n’a pas fait l’unanimité. Loin de là. Les syndicats agricoles s’y sont farouchement opposés (FNSEA, JA, Unep), arguant que cette transformation sonnait le glas des Brevets d’études professionnelles agricoles (BEPA). Il s’agit d’un diplôme plus modeste mais intermédiaire qui permettait aux élèves de s’arrêter plus tôt que le Bac pro dans le cadre de leur formation.
- Ouverture d’un lycée agricole à Wallis et Futuna (2011)
Par décret du 31 décembre 2010, le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire a décidé l’ouverture d’un lycée agricole sur l’île de Wallis et Futuna, en collaboration avec le Ministère chargé de l’Outre-mer. Cette ouverture est effective depuis le mois de février 2011.
Ce lycée offre la possibilité de passer 2 Bacs Pro, l’un dédié à la production végétale, l’autre à la production animale. Un cycle de formation courte est également en place à l’attention des adultes. Ce nouvel établissement vise à éviter les déplacements en Nouvelle-Calédonie ou en Métropole pour les jeunes qui souhaitent suivre ce type de formation. Sur cet archipel, 80% de la population exerce une activité agricole.
- Création d’un web-classeur (2010)
La DGER et l’Onisep (Office national d’information sur les enseignements et professions) ont signé une convention instituant le web-classeur. Il s’agit d’un outil électronique pédagogique réunissant des informations nécessaires aux élèves de l’Enseignement agricole.
On y trouve par exemple recensées des informations sur les divers types de formations proposées ainsi que sur les métiers du monde agricole. Citons les formations aux métiers du développement durable et de la croissance verte. Ces dernières s’inscrivent dans le projet de loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche.