Rattachée au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, cette délégation est également à la disposition du Ministère de l’Education nationale et du ministre chargé de l’Economie numérique.
Sa mission principale est de combler le retard français en matière de développement du numérique pour que toute la population aie accès à l’Internet. Elle travaille en partenariat avec le Ministère de la Culture et de la Communication et les municipalités françaises mais aussi avec des entreprises comme Intel pour équiper les espaces publics avec du matériel d’accès au Web.
D’abord sous la tutelle du ministère de l’Education Nationale à sa création en 2003, la DUI suit le ministre délégué à la Recherche lors de la scission du ministère de l’Enseignement Supérieur avec l’Education Nationale en 2007.
La mission générale de la DUI est de mettre en place des mesures concrètes pour garantir l’accès à tous les citoyens à l’univers numérique de l’Internet.
La DUI est en charge du programme gouvernemental "Jeunes et familles" composé de cinq priorités nationales :
La DUI gère pour cela plusieurs programmes :
- le programme « NetPublic » sur les 4000 Espaces Publics Numériques (EPN) déployés sur le territoire en collaboration avec les collectivités territoriales
Le débat s’est porté ces dernières années sur la « fracture numérique » qui touche la population française. Un rapport annuel du Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC) fait état du « fossé numérique » qui existe entre les différentes classes sociales et comment combler ce handicap.
Une partie de la société française n’a pas accès à un ordinateur ou a l’Internet. La conséquence est l’émergence d’une génération qui vivra dans un monde technologique dont elle ne maitrise pas les bases pour ne jamais y avoir été confronté.
Des associations comme CRéATIF et Renaissance Numérique veulent remédier au problème en donnant des cours dans des centres sociaux, en recyclant de vieux ordinateurs mais peinent à trouver des financements à hauteur du défi de la société de l’information.
En s’appuyant sur la loi du 17 décembre 2009 relative à la lutte contre la « fracture numérique », le gouvernement a demandé en 2011 un rapport au Centre d’Analyse Stratégique pour évaluer la situation.
Rattachée au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, cette délégation est également à la disposition du Ministère de l’Education nationale et du ministre chargé de l’Economie numérique.
Sa mission principale est de combler le retard français en matière de développement du numérique pour que toute la population aie accès à l’Internet. Elle travaille en partenariat avec le Ministère de la Culture et de la Communication et les municipalités françaises mais aussi avec des entreprises comme Intel pour équiper les espaces publics avec du matériel d’accès au Web.
D’abord sous la tutelle du ministère de l’Education Nationale à sa création en 2003, la DUI suit le ministre délégué à la Recherche lors de la scission du ministère de l’Enseignement Supérieur avec l’Education Nationale en 2007.
La mission générale de la DUI est de mettre en place des mesures concrètes pour garantir l’accès à tous les citoyens à l’univers numérique de l’Internet.
La DUI est en charge du programme gouvernemental "Jeunes et familles" composé de cinq priorités nationales :
La DUI gère pour cela plusieurs programmes :
- le programme « NetPublic » sur les 4000 Espaces Publics Numériques (EPN) déployés sur le territoire en collaboration avec les collectivités territoriales
Le débat s’est porté ces dernières années sur la « fracture numérique » qui touche la population française. Un rapport annuel du Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC) fait état du « fossé numérique » qui existe entre les différentes classes sociales et comment combler ce handicap.
Une partie de la société française n’a pas accès à un ordinateur ou a l’Internet. La conséquence est l’émergence d’une génération qui vivra dans un monde technologique dont elle ne maitrise pas les bases pour ne jamais y avoir été confronté.
Des associations comme CRéATIF et Renaissance Numérique veulent remédier au problème en donnant des cours dans des centres sociaux, en recyclant de vieux ordinateurs mais peinent à trouver des financements à hauteur du défi de la société de l’information.
En s’appuyant sur la loi du 17 décembre 2009 relative à la lutte contre la « fracture numérique », le gouvernement a demandé en 2011 un rapport au Centre d’Analyse Stratégique pour évaluer la situation.